S'exprimant sous condition d'anonymat, ces
hauts responsables ont expliqué qu'un «groupe de travail» avait été mis en
place pour prévenir toute nouvelle ingérence dans les élections parlementaires
de l'automne prochain.
Et le travail est en cours pour introduire des
sanctions liées aux actions de déstabilisation du système électoral américain
prêtées à Moscou pendant la campagne présidentielle de 2016 qui a porté Donald
Trump à la Maison-Blanche.
«Nous faisons énormément de travail, nous
prenons cela très au sérieux, c'est une question de sécurité nationale», a
assuré un responsable de l'administration.