Le gouvernement fera donc une note verbale à l’Allemagne en vue d’ouvrir le dialogue sur cette question.
Berlin s’oppose toujours à la volonté grecque de rouvrir le dossier en arguant que la question a été définitivement réglée en 1960 dans le cadre d’un accord avec plusieurs gouvernements européens. Le porte-parole de la chancelière allemande Angela Merkel, Steffen Seibert, a redit mercredi que "la question des réparations allemandes est réglée juridiquement et politiquement", tout en soulignant "la responsabilité historique" de l’Allemagne.