Le secrétaire d’Etat américain, Rex Tillerson, le 12 décembre à Washington - Photo JONATHAN ERNST / REUTERS |
Les Etats-Unis insistaient jusque-là sur le pré requis
nécessaire d’une éventuelle discussion avec la RPDC, sa dénucléarisation. Or
Pyongyang, de facto puissance nucléaire après six essais nucléaires d’une
intensité croissante et qui fait la démonstration des rapides progrès de son
programme balistique, n’a cessé de souligner qu’il n’était pas question
d’abandonner cette arme.