Le ministre des Affaires étrangères du Brésil, Mauro Vieira, a précisé que le choix de l’ONU datait du 18 mai.
Le pays qui abrite plus de 60% de la forêt amazonienne était censé accueillir la COP en 2019, mais les autorités brésiliennes avaient renoncé à l’organiser après l’élection du président d’extrême droite Jair Bolsonaro (2019-2022), un climato-sceptique notoire.