La suspension fait suite à la décision prise lors de la 64e session du bloc, qui s’est tenue à Abuja, la capitale nigériane, le 10 décembre dernier.
Dans sa déclaration, la CEDEAO a affirmé que Mohammed Bazoum, renversé par la garde présidentielle fin juillet, était toujours le président démocratiquement élu au Niger, exigeant ainsi sa libération immédiate et sans condition.