Ces
frappes sur la Ghouta orientale, à l'est de la capitale, interviennent au
lendemain de bombardements meurtriers à Idleb, province rebelle dans le
nord-ouest du pays où le régime de Bachar al-Assad est de nouveau soupçonné
d'avoir utilisé des gaz toxiques, après des cas de suffocation. Lundi, Washinghton
a affirmé, par la voie de son ambassadrice à l'ONU Nikki Haley, disposer
"de preuves provenant de dizaines de victimes" confirmant l'usage de
chlore dans les attaques menées par le régime contre l'enclave rebelle.