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Le code impose la présence de policiers à bord de leurs bateaux et l’interdiction du transfert des migrants secourus sur d'autres navires. Cette mesure obligerait ainsi les ONG à transporter les migrants sur la terre ferme sans assistance extérieure, ce qui limiterait leurs opérations.
Les ONG sont parfois soupçonnées de collusion avec les passeurs et la Commission européenne a estimé récemment que leur travail pouvait inciter les migrants à tenter la dangereuse traversée de la Méditerranée. Les organisations doivent présenter vendredi les modifications qu'elles souhaitent y apporter, lors d'une nouvelle réunion.