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Des secouristes sur les lieux touchés par une attaque au missile iranienne, à Rishon LeZion, en Israël, le 14 juin 2025.
Photo : REUTERS/Ronen Zvulun
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En riposte, l’aviation israélienne a visé plusieurs sites stratégiques à Téhéran, notamment le siège du ministère iranien de la Défense et deux dépôts pétroliers. Le président iranien Masoud Pezeshkian a promis une réaction «plus sévère et plus forte» si les frappes israéliennes se poursuivent.
Washington a rapidement démenti toute implication militaire directe aux côtés d’Israël et appelle à un retour aux négociations. L’Égypte et la Turquie exhortent également à la retenue et à une reprise du dialogue irano-américain, avec l’appui d’Oman en tant que médiateur.
Face à la montée des tensions, les pays voisins prennent des mesures préventives: la Jordanie a fermé son espace aérien pour la deuxième fois, tandis que l’Irak multiplie les démarches diplomatiques. Le Hezbollah libanais, de son côté, a annoncé qu’il ne participerait pas aux représailles iraniennes.