Des bâtiments détruits à Khan Youni, dans la bande de Gaza, après des frappes aériennes israéliennes, le 7 novembre 2024. Photo: THX/TTXVN |
Le même jour, le président américain Donald Trump et son envoyé spécial pour le Moyen-Orient, Steve Witkoff, ont transmis cette proposition au Hamas après avoir obtenu le feu vert d’Israël. Cependant, Bassem Naim, haut responsable du Hamas, a insisté sur le fait que le texte ne satisfaisait aucune des exigences palestiniennes, et a précisé que le groupe devait l’étudier plus en profondeur avant de se prononcer définitivement. La veille, la chaîne Al Aqsa du Hamas avait déjà démenti toute acceptation de la proposition.
D’après la presse israélienne, le point saillant de ce plan est la clause stipulant que si, après 60 jours de cessez-le-feu provisoire, les parties n’ont pas conclu d’accord sur un cessez-le-feu durable, celui-ci pourra être prolongé d’un commun accord. Le texte prévoit également la libération de tous les otages, vivants ou décédés, figurant sur la liste de 58 personnes remise par Israël.