Le bilan fait état de plus de 51.000 morts et 11.000 disparus, dont une majorité de femmes et d’enfants.
Les bombardements auraient déversé quelque 100.000 tonnes d’explosifs sur l’enclave palestinienne, détruisant environ 165.000 maisons. Plus de 90% de la population, soit plus de deux millions de personnes, seraient déplacées et confrontées à des conditions de vie dramatiques.
Israël n’a pas réagi à ces chiffres. Toutefois, plusieurs sources régionales estiment qu’ils reflètent l’ampleur de l’un des conflits les plus meurtriers que le Moyen-Orient ait connu depuis des décennies.