En réponse, les États-Unis ont exprimé leur forte opposition, arguant que l'invasion militaire massive de Rafah aurait un effet extrêmement néfaste sur les 1,5 million de civils à Rafah et qu'elle nuirait en fin de compte à la sécurité d'Israël.
Cette déclaration de Benjamin Netanyahu intervient après le retour des négociateurs israéliens du dernier cycle de négociations sur un cessez-le-feu à Gaza, au Caire, en Égypte. Les négociations n'ont pas progressé et les délégations d'Israël et du Hamas devraient retourner au Caire, le 10 avril.