Dans un discours à l'Université américaine du Caire, il a réaffirmé la ligne énoncée par Donald Trump dès 2017 à Ryad: union des alliés des États-Unis contre l'Iran chiite, plus que jamais désigné comme l'ennemi commun.
Il a d'ailleurs assuré que Washington continuerait d'oeuvrer, «par la diplomatie», pour «chasser» les Iraniens de Syrie, où ils sont impliqués militairement auprès du régime de Damas.