Le président américain Donald Trump. Photo AFP/TTXVN
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La haute cour siégeant
à Washington
a par ailleurs accepté d'examiner en octobre ce dossier potentiellement
explosif.
«La décision rendue à l'unanimité par
la Cour suprême est une victoire nette pour notre sécurité nationale», se
félicite le milliardaire dans un communiqué, bien que le jugement ait été rendu
«au nom de la cour», ce qui est différent d'une décision unanime signée par les
neuf sages. «En tant que président, je ne peux laisser entrer dans notre pays
des gens qui nous veulent du mal», ajoute-t-il.
Le décret interdisant temporairement
l'entrée aux Etats-Unis des ressortissants de six pays musulmans - Syrie,
Libye, Iran, Soudan, Somalie et Yémen - s'applique désormais vis-à-vis de
quiconque «n'ayant pas établi de relation de bonne foi avec une personne ou une
entité aux Etats-Unis». En clair, tout habitant de ces pays qui serait
totalement inconnu des autorités américaines se verra refuser l'accès au
territoire des Etats-Unis.