L’épidémie ne sera cependant pas sans conséquence : la dette publique des gouvernements, qui dépensent sans compter pour limiter les dégâts liés au virus, s’est profondément creusée, pour atteindre un niveau supérieur à 100 % du PIB dans l’ensemble de la zone euro.
Le regain d’optimisme de l’exécutif européen s’explique notamment par l’augmentation des taux de vaccination en Europe, après des débuts difficiles, et l’assouplissement des mesures de restriction qui s’ensuit.
Selon la Commission, la croissance de la zone euro «sera tirée par la consommation privée, l’investissement et une demande croissante pour les exportations de l’UE de la part d’une économie mondiale qui se renforce».