Le président de la 78e Assemblée générale des Nations Unies, Dennis Francis et le ministre cubain des Affaires étrangères, Bruno Rodríguez Parrilla. Photo: Mai Phuong/TTXVN

Dans un communiqué, ces experts dénoncent une "mesure de coercition unilatérale" contraire à la Charte des Nations Unies et au droit international. Ils l’ont qualifiée de recul pour les droits humains à Cuba, en particulier pour les populations les plus vulnérables. Cette mesure aggrave les difficultés économiques du pays, entravant ses échanges commerciaux et financiers, ainsi que ses efforts pour faire face aux effets de l’embargo, de la pandémie de COVID-19 et des catastrophes naturelles. Selon les experts, les pertes cumulées liées à l’embargo dépassent 164 milliards de dollars, avec des conséquences alarmantes sur la sécurité alimentaire et une hausse de l’inflation dans l’île.