À l'intérieur d'une usine de voitures électriques à Wuhan, dans la province du Hubei, en Chine. Photo: THX/TTXVN |
Cette action fait suite à l’annonce par Ottawa de l’imposition, à partir du 22 octobre, d’une taxe de 100% sur les véhicules électriques importés de Chine et de 25% sur l’acier et l’aluminium chinois. En parallèle, Pékin a ouvert une enquête anti-discrimination sur ces restrictions commerciales canadiennes. Le ministère chinois du Commerce a déclaré que le pays prendrait toutes les mesures nécessaires pour protéger les intérêts de ses entreprises.
Ces développements s’inscrivent dans un contexte de tensions croissantes entre les deux pays, exacerbées par l’éventuelle interdiction canadienne de logiciels chinois dans les véhicules électriques. La Chine considère ces mesures comme discriminatoires au regard de ses lois sur le commerce extérieur.