Des ressortissants étrangers, dont des diplomates de plusieurs nationalités, bloqués en Cisjordanie et en Israël, attendent d’être évacués via le poste-frontière du pont King Hussein, à South Shuna, en Jordanie, le 19 juin 2025. Photo : REUTERS / Alaa Al Sukhni |
Le Kenya, l’Ouganda et le Rwanda ont exhortés leurs ressortissants présents dans ces pays à fournir leurs coordonnées et à rester en contact avec leurs missions diplomatiques. L’Ouganda a annoncé favoriser l’évacuation de ses citoyens bloqués dans les zones de conflit via des pays voisins comme la Turquie, l’Azerbaïdjan et la Jordanie. Le Kenya, de son côté, a appelé ses ressortissants à suivre les consignes des autorités locales, à éviter les activités non essentielles et à préparer leurs documents en cas de départ d’urgence.
Le 19 juin, le ministre italien des Affaires étrangères, Antonio Tajani, a affirmé que l’Italie maintiendrait ses ambassades à Téhéran et à Tel-Aviv, tout en prévoyant des vols charters pour rapatrier ses citoyens.
Le même jour, le Canada a également indiqué qu’il élaborait des plans d’évacuation pour ses ressortissants en Israël, en Cisjordanie et en Iran, sans en préciser les modalités.