Ce bilan est l'un des plus élevés enregistrés par les forces égyptiennes sur leur sol, depuis des années.
L'attaque contre une station de pompage hydraulique militaire dans la péninsule désertique, où sévissent des cellules radicales dont certaines ayant fait allégeance à l'EI, a suscité une vague de condamnations à l'étranger. L'Union africaine, Paris, Washington ou Khartoum ont tous dénoncé un acte «terroriste» qui, a promis le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi, ne «viendra pas à bout de la détermination du pays et de son armée à couper le mal du terrorisme à la racine».