La cyberattaque a notamment affecté les hôpitaux britanniques, le constructeur automobile français Renault, le système bancaire russe, le groupe américain FedEx ou encore des universités en Grèce et en Italie. Enquêteurs et experts informatiques internationaux ignoraient toujours dimanche l'identité des pirates informatiques et continuaient de les traquer, alors que la menace d'une nouvelle attaque informatique plane toujours sur les systèmes informatiques de milliers d'entreprises et d'institutions. Rob Wainwright, directeur d'Europol, a déclaré lors d'une conférence de presse qu'une nouvelle attaque pourrait survenir dans la matinée de lundi.