Le secrétaire d'Etat américain Rex Tillerson. Photo: AFP/TTXVN |
Sa nouvelle mission dans la région, comme la précédente en juillet, n'a pas permis pour l'instant de sortir de l'impasse.
"Lors de mon entretien avec le prince héritier" d'Arabie saoudite Mohamed ben Salmane, plus tôt dans la journée à Ryad, "je lui ai demandé de s'engager dans un dialogue", a rapporté le ministre américain des Affaires étrangères lors d'une conférence de presse à Doha. Or, "il n'y pas de signe fort indiquant que les parties sont prêtes à dialoguer", et "on ne peut pas forcer les gens à se parler s'ils ne sont pas prêts", a-t-il ajouté.