Photo d'illustration (source: THX/TTXVN)
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À la date du 7 janvier, le nombre de cas positif au Sars-CoV-2 aura dépassé le seuil de 300 millions pour plus de 5,48 millions de décès. Durant ces dernières 24 heures, le monde a enregistré plus de 2,38 millions de cas dont plus de 663 mille aux États-Unis et plus de 261 mille en France.
L'Europe continue d'être l’épicentre de la pandémie. En France, la situation s’aggrave. La moyenne des nouvelles infections au cours des 7 derniers jours dépasse les 200 mille cas – un niveau jamais vu depuis le début de l'épidémie.
L'Argentine connaît elle aussi une hausse spectaculaire du nombre de personnes positives, avec près de 110 mille cas au cours des 24 dernières heures.
Alors que les cas de contaminations continuent d’atteindre des records en Europe et en Amérique du Nord, l’inquiétude demeure du côté de l’Organisation mondiale de la Santé. «Bien qu’Omicron semble moins grave que Delta, en particulier chez les personnes vaccinées, cela ne signifie pas qu’il faille qualifier ce variant de bénin», a déclaré lors d’une conférence de presse virtuelle depuis Genève, Tedros Adhanom Ghebreyesus, le directeur général de l’OMS. Tout comme les variants précédents, Omicron conduit à «des hospitalisations et tue des gens». «En fait, le tsunami de cas est tellement énorme et rapide, qu’il submerge les systèmes de santé du monde entier», a détaillé Tedros Adhanom Ghebreyesus, ajoutant que les hôpitaux devenaient surchargés, ce qui pouvait entraîner «des décès évitables dus non seulement au coronavirus mais aussi à d’autres maladies et blessures pour lesquelles les patients ne peuvent pas recevoir de soins en temps voulu».