Les États-Unis restent le pays le plus touché tant en nombre de morts que de cas, avec 525.780 décès pour plus de 29.256.870 cas recensés, suivis par l’Inde et le Brésil.
Alors que le Royaume-Uni se réjouissait de l'avancée des vaccinations, les autorités sanitaires ont annoncé dimanche avoir décelé six personnes infectées par un variant, identifié à Manaus, dans le nord du Brésil, qui pourrait être plus contagieux et résister aux vaccins existants. L'une de ces personnes n'a pu être localisée en raison de coordonnées incomplètes fournies dans le cadre de son test.
Connu sous le nom de P.1, le variant a été détecté sur trois personnes en Angleterre, dont deux qui ont voyagé au Brésil, et trois en Écosse. Il présente des mutations similaires à celles du variant qui a émergé en Afrique du Sud. Des études suggèrent qu'il est susceptible de se propager très rapidement et de résister davantage aux vaccins que la souche initiale du Sars-CoV-2.
En Inde, après les professionnels de santé, ce sont les personnes âgées et vulnérables qui peuvent se faire vacciner, soit plus de 100 millions d'habitants. La vaccination est gratuite dans les hôpitaux publics, mais payante dans le privé.
En plus des personnes âgées de plus de 60 ans, l’Inde vaccine à présent celles qui ont plus de 45 ans et souffrent de maladies chroniques ou d’une déficience immunitaire.