"Nous espérons que le fait que la majorité des pays souhaite une mention explicite de l'abandon des énergies fossiles sera pris en compte dans le texte". Cela concrétiserait la détermination internationale à atteindre l'objectif de limiter le réchauffement mondial à 1,5 °C", a souligné Ralph Regenvanu, qui dirige la délégation de l'État du Pacifique à Dubaï.

"Il est essentiel que la petite minorité de pays qui bloque les progrès reconsidère sa position. C'est l'objectif sur lequel nous travaillons ces deux prochains jours", a-t-il ajouté, alors que la COP doit se conclure mardi.