Photo d'illustration
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Le décret qui entre en vigueur ce jour contraint les entreprises japonaises qui exportent des produits dits stratégiques vers le pays du Matin calme à effectuer dorénavant de lourdes démarches administratives pour obtenir des licences d’exportation. Idem pour les produits non stratégiques, s’ils sont jugés susceptibles d’être utilisés à des fins militaires. Quasiment tous les biens, à l’exception des aliments et du bois, sont concernés.