Sa représentante en chef, Le Lan Phuong, a indiqué que les journalistes et leurs articles sexistes sont aussi responsables des violences faites aux femmes et aux enfants et que ce phénomène existe encore au Vietnam en dépit des nombreux ateliers de formation organisés sur cette question ces dernières années à destination des journalistes vietnamiens. «Nous devons protéger le droit privé des femmes et des enfants, victimes des violences. Les journalistes doivent être honnêtes et assurer l’objectivité de l’information en évitant d’imputer la faute aux victimes.»