Le calendrier, a-t-il dit en marge d'un déplacement en Écosse, dépendra des discussions engagées au début du mois avec l'opposition travailliste. Ces pourparlers, a-t-il encore assuré, se déroulent dans une «atmosphère productive et professionnelle».
Après avoir repoussé une première fois la date du divorce, du 29 mars au 12 avril, les chefs d'État et de gouvernement de l'UE ont convenu d'offrir à May un report «flexible» du Brexit, jusqu'au 31 octobre, avec possibilité de sortir dès qu'elle aura fait adopter l'accord de retrait par son Parlement (mais avec aussi la nécessité de devoir organiser des élections européennes le 23 mai prochain si la dirigeante conservatrice ne parvient pas à ses fins d'ici là).
Theresa May a échoué par trois fois à faire voter le «Withdrawal Agreement» à la Chambre des communes.