Un deuxième vote causerait des « dégâts irréparables pour l'intégrité de la vie politique », estime la cheffe du gouvernement britannique. Elle a répété que le traité de divorce négocié avec Bruxelles était le meilleur « deal » possible et que la seule autre alternative à son accord était soit un Brexit sans accord, un « no deal » potentiellement dévastateur pour l'économie britannique, soit pas de Brexit du tout.