Photo d'illustration
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“Je n’exclus rien”, a-t-elle déclaré sur Europe 1 alors qu’elle était interrogée sur l’éventualité d’un “no deal”, en précisant qu’une telle issue serait plus pénalisante pour les Britanniques que pour les Européens.
“Ceux qui ont le plus besoin d’un accord, c’est les Britanniques, parce qu’ils ne peuvent pas aujourd’hui supporter un deuxième choc après l’épidémie”, a-t-elle souligné.