Le président sortant de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker |
“L'accord de retrait est juste, équilibré et offre une sécurité juridique", déclarent les eurodéputés dans leur résolution.
Le Royaume-Uni sera le seul responsable d'un départ sans accord, jugent-ils, tandis que les négociations sont toujours bloquées à six semaines de la date du Brexit fixée au 31 octobre.
"Le risque" d'un no-deal "reste très réel", a déclaré mercredi matin lors du débat le président sortant de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker.