Face à la méfiance de la majorité comme de l’opposition, la Première ministre britannique veut rassurer son camp, à 5 mois du divorce avec l’UE : "Si l'on considère l'ensemble de ces éléments, 95 % de l'accord de retrait et de ses protocoles sont maintenant réglés. Il reste un véritable point de friction, et considérable : nous devons garantir qu’il n'y aura pas de retour à une frontière dure entre l'Irlande du Nord et la République irlandaise, si le scénario d’une absence d’accord se profile", a-t-elle déclaré.
Du côté de Bruxelles, les Européens en sont persuadés : leur part du travail a déjà été réalisée. C’est désormais à la classe politique britannique de mettre ses contentieux de côté, pour trouver un accord.