L’armée a pris cette décision car «les rebelles n’ont jamais appliqué une seule des dispositions d’un cessez-le-feu à court terme, qui exigeait leur retrait des hôpitaux et des bâtiments résidentiels, et qu’ils ont violé la trêve à plusieurs reprises», a déclaré le responsable soudanais, sous couvert d’anonymat. De son côté, les FSR disent continuer à exercer "leur droit de se défendre" face "aux violations de la trêve par l'armée".
Jusqu'à présent, les médiateurs américains et saoudiens n'ont imposé aucune sanction dans l'espoir de maintenir les parties à la table des négociations, tout en reconnaissant que la trêve n'a pas été totalement respectée.