Cité par l'agence officielle syrienne Sana, un porte-parole du ministère syrien des Affaires étrangères a appelé «les Etats membres de l'OIAC à dénoncer de tels rapports erronés qui manquent de crédibilité», accusant l'organisation de «partialité».
La semaine dernière, l'OIAC avait indiqué dans ce rapport final qu'il existait «des motifs raisonnables pour penser qu'un agent chimique toxique a été utilisé comme arme le 7 avril 2018» dans cette attaque contre Douma près de Damas, ajoutant que «cet agent chimique contenait de la chlorine».