En vertu de ce document, un terme flou qui pourrait s'approcher de l'idée d'une zone tampon, seront créées dans les territoires rebelles à Idleb (nord-ouest), dans la province centrale de Homs, dans l'enclave rebelle de la Ghouta (banlieue est de Damas) et dans la partie méridionale du pays. Selon le ministère turc des Affaires étrangères, l'accord interdit l'usage de tous les types d'armes dans ces zones et permet l'acheminement d'aide humanitaire. Par ailleurs, un des membres de la délégation de l’opposition syrienne a protesté contre la signature du document par l'Iran et quitté la salle. L'envoyé spécial des Nations unies en Syrie Staffan de Mistura a pour sa part salué l'initiative tripartite. Du côté de Washington, on a salué la décision, mais avec une grande prudence.