Ils ont demandé que la loi soit plus précise quant aux dénonciations anonymes et qu’elle prévoie des dispositifs concrets de protection des dénonciateurs. La plupart d’entre eux ont approuvé la proposition du gouvernement de stipuler dans la loi seules deux formes de dénonciation, écrite et directe. Selon Tran Van Mao, député de la province de Nghe An, si les organes d’Etat acceptent également des dénonciations par télécopie, email ou téléphone, il sera très compliqué de vérifier leurs contenus.