Avec seulement 207 voix favorables contre 394 oppositions et 116 abstentions, ce résultat ouvre la voie à une dissolution du Parlement fédéral.

Le chancelier devra désormais solliciter le président Frank-Walter Steinmeier pour enclencher le processus de dissolution, qui devrait aboutir à des élections anticipées d’ici 81 jours. Un scrutin est d’ores et déjà prévu pour le 23 février 2025, fruit d’un consensus entre les principales formations politiques.

Dans son allocution précédant le vote, Olaf Scholz a reconnu l’impact négatif des dissensions au sein de sa coalition «Feux de circulation», admettant que ces divisions avaient rendu impossible la poursuite de son mandat.