Lors d'une réunion du conseil des gouverneurs de l'instance onusienne en charge de la sûreté nucléaire, il a redit que l'Iran coopérait avec ses équipes chargées de surveiller la mise en oeuvre par Téhéran de cet accord conclu en juillet 2015 à Vienne. Si cet accord n'était plus appliqué, "cela constituerait une grande perte pour la vérification nucléaire et pour le multilatéralisme", a estimé M. Amano.