Moscou a également ouvert une procédure pour «meurtre»
après la mort suspecte de Nicolaï Glouchkov, un autre exilé russe à Londres, le
12 mars. Plus tôt dans la journée, la Russie avait promis une riposte «d’une
minute à l’autre», à la suite de l’expulsion de ses 23 diplomates par Londres
répondant à l’empoisonnement de l’ex-agent double russe. Le Kremlin juge
également «impardonnable» de mettre en cause Poutine, comme responsable de
l'empoisonnement de l’ex-espion.