Le secrétaire d’Etat américain Rex Tillerson, le 12 décembre à Washington. Photo: JONATHAN ERNST / REUTERS |
Au moment même où le chef de la diplomatie américaine Rex Tillerson faisait cette annonce qui semble assouplir la position de Washington, le dirigeant nord-coréen Kim Jong-un a lui alimenté la guerre des mots de ces derniers mois, en faisant connaître son intention de faire de son pays «la puissance nucléaire et militaire la plus forte au monde».