Ces essais impliqueront en tout 600 adultes, dont la moitié a déjà reçu deux doses du vaccin de Moderna il y a au moins six mois, et l'autre non seulement ces deux doses initiales mais aussi, il y a au moins trois mois, la dose de rappel déjà autorisée. Le rappel spécifique contre Omicron sera donc à la fois évalué en tant que troisième, ou quatrième dose.
L'entreprise a également fait part de résultats portant sur l'efficacité, face à Omicron, du rappel déjà autorisé. Selon l'entreprise, six mois après l'injection du rappel, les niveaux d'anticorps neutralisants contre Omicron étaient réduits par six par rapport au pic observé 29 jours après la piqûre, mais restaient détectables chez tous les participants. Ces données ont été obtenues en étudiant le sang de 20 personnes ayant reçu le rappel dosé à 50 microgrammes (soit moitié moins que les deux premières injections).