Photo d''illustration: Lang Viet

La politique ethnique du Parti communiste vietnamien est tout entière résumée dans la résolution 24 du comité central, adoptée en mars 2003. Elle stipule notamment que tout l’appareil politique doit agir dans le but de favoriser le développement socioéconomique, d’assurer la défense et la sécurité des zones peuplées de minorités ethniques mais aussi de préserver l’identité culturelle de ces dernières. Ce document, qui reste le document de référence, a été complété par la Constitution de 2013 qui prône l’égalité, la solidarité, le respect mutuel et l’entraide entre les ethnies et qui interdit strictement toute acte de discrimination et de division ethnique.

Les minorités ethniques, qui représentent 14% de la population nationale, contribuent de plus en plus au développement et à la défense du pays.

Sont aussi considérés comme minoritaires les religieux qui ne représentent, toutes confessions confondues, que 27% de la population vietnamienne.

Ces deux minorités participent activement aux mouvements d’émulation patriotique lancés par le Front de la Patrie vietnamienne. En particulier, les religieux font preuve d’une générosité exemplaire envers leurs compatriotes dans le besoin.

Or, les forces hostiles au Parti communiste vietnamien ne cessent de dénigrer sa politique d’union nationale. Du coup, les autorités locales se rapprochent davantage de la population pour mieux connaître ses attentes et y répondre : quel meilleur démenti apporter à toutes ces allégations fallacieuses que des communautés ethniques ou religieuses vivant en harmonie ?...

In fine, le peuple vietnamien uni dans sa diversité poursuit le même objectif que le Parti communiste vietnamien, un objectif parfaitement résumé par le slogan «un peuple prospère, un pays puissant, démocratique et civilisé».