L'image dans la vidéo largement diffusée sur les réseaux sociaux sur le tabassage du producteur de musique Michel Zeclerc. Photo : TTXVN

Il s'agit d'un brigadier de 44 ans et de trois gardiens de la paix de 23, 31 et 35 ans.

Le parquet a requis la mise en examen de trois policiers pour « violences volontaires par personne dépositaire de l'autorité publique », avec la circonstance aggravante de racisme, et « faux en écriture publique ». Le fonctionnaire de police qui a lancé une bombe lacrymogène à l'intérieur du local encourt une mise en examen pour "violences volontaires" et "dégradation de biens publics".

Deux des quatre policiers sont encore en garde à vue. Les deux autres ont été libérés mais placés sous contrôle judiciaire.