Le ministère arménien de la Défense a confirmé l’information, tout en niant avoir frappé l’Azerbaïdjan et affirmant se réserver désormais le droit de viser toute infrastructure ou équipement militaire sur le territoire de l’Azerbaïdjan. C’est la première fois depuis la reprise des hostilités dans cette région séparatiste que Bakou reconnait avoir frappé sur le territoire de l’Arménie.

Plus de 600 morts ont été officiellement comptabilisés lors des affrontements, mais le bilan réel pourrait être bien plus lourd.

Une trêve négociée sous l’égide de la Russie aurait dû entrer en vigueur samedi dernier pour permettre au moins un échange de prisonniers et de corps mais elle n’a jamais été respectée.