Ce projet s’inscrit dans une nouvelle stratégie américaine favorisant les États membres de l’OTAN qui investissent davantage dans la défense. Lors de son premier mandat, Donald Trump avait déjà ordonné le retrait de près de 12.000 soldats d’Allemagne, notamment de la base de Ramstein, siège du Commandement européen (EUCOM) de l'armée américaine.