Des Palestiniens marchent devant les décombres de bâtiments détruits dans la ville de Gaza, le 19 novembre 2025. Photo: REUTERS/Dawoud Abu Alkas |
Le Premier ministre du Qatar, Mohammed Abdulrahman Al Thani, a jugé que la situation actuelle ne pouvait être qualifiée de cessez-le-feu tant qu’Israël ne se retirait pas totalement du territoire. Depuis le 10 octobre, Israël a repositionné son armée le long d’une «ligne dorée» divisant Gaza en Est et Ouest, mais a retardé la réouverture du point de passage de Rafah en invoquant la non-restitution du corps d’un otage. Début décembre, Israël a accepté de rouvrir Rafah dans un sens unique pour permettre aux Palestiniens de sortir, une mesure jugée insuffisante par l’Égypte, qui exige le retour libre des habitants.
Le Qatar, la Turquie, l’Égypte et les États-Unis poursuivent actuellement leurs efforts de médiation pour définir la prochaine étape.