Des migrants attendent d'entrer dans le centre pour réfugiés de la porte de La Chapelle, à Paris, le 9 juin 2017 - Photo GEOFFROY VAN DER HASSELT / AFP |
Ces missions menées par l'Ofpra (Office français de protection des réfugiés et apatrides) visent aussi à "mieux prévenir la situation depuis le Niger et le Tchad pour prévenir un afflux de migrants économiques" non éligibles au droit d'asile, a expliqué le président. Au total, la France "ouvrira sur les deux prochaines années 10 000 places"pour ces réfugiés "réinstallés" depuis le Niger, le Tchad, mais aussi de Turquie, du Liban et de Jordanie, a annoncé le président. Parmi ces réfugiés, 3 000 seront issus des "missions de protection avancées" de l'Ofpra au Niger et au Tchad, a précisé le ministre de l'Intérieur Gérard Collomb dans un communiqué.