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Neuf mort ont été recensées. La Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l’homme, Michelle Bachelet, a averti que l’escalade de la violence pourrait usurper le processus démocratique.
Evo Morales a démissionné sous la pression de la police et de l’armée boliviennes dimanche dernier après que des preuves de fraude électorale eurent altéré sa victoire aux élections législatives du 20 octobre. Il s’est enfui au Mexique deux jours après sa démission. L’ancien cultivateur de coca a qualifié son évêque de « coup d’Etat » et a dénoncé les allégations de répression par les forces de sécurité dirigées par Jeanine Anez, ancien président du Parlement.