Des soldats ukrainiens s'entraînent dans la région de Mykolaïv, le 14 mai 2024. Photo: Kyodo/TTXVN

Cette mesure, préalablement approuvée par le Parlement ukrainien, intervient dans un contexte diplomatique complexe.

Des signes d'ouverture au dialogue émergent néanmoins des deux côtés. Le 24 janvier, le président russe Vladimir Poutine s'est dit prêt à négocier une résolution du conflit. Une position à laquelle a fait écho Volodymyr Zelensky le 4 février, indiquant qu'il envisagerait des pourparlers directs avec les dirigeants russes "en dernier recours". Un revirement notable, alors qu'en octobre 2022, le président ukrainien avait formellement exclu toute négociation avec Moscou tant que Vladimir Poutine resterait au pouvoir.