Photo d'illustration
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Selon l’accord en question, certains des bâtiments nouvellement construits resteront en place, verrouillés et surveillés par l'armée.
Leurs propriétaires devront alors prouver qu'il ne s'agit pas de terres palestiniennes. S’ils n’y parviennent pas, les terrains leurs seront confisqués pour construire des écoles.