Le CDC chinois avait présenté mardi des données lors d’une réunion à huis clos du groupe consultatif technique de l’OMS sur l’évolution du virus, qui ont montré la prédominance de souches connues d’Omicron qui circulent déjà dans d’autres pays. Aucun nouveau variant n’a été signalé par le CDC chinois. Parmi lesquelles, les sous-lignées BA.5.2 et BF.7 du variant Omicron sont les principales souches pathogènes dans ce pays, et causent environ 97,5% des infections en Chine.

Toujours ce mercredi, le chef de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, a déclaré mercredi que l’OMS continuait de maintenir un contact étroit avec la Chine pour appréhender régulièrement la situation épidémique dans ce pays, tout en soulignant le rôle important de la vaccination nationale et des doses de rappel en particulier.