Les forces de sécurité du Burkina Faso sont déployées sur les lieux d'une attaque à Ouagadougou le 2 mars 2018. (Photo : AFP/AVI)
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Ces attaques ont été perpétrées dans la zone dite "des trois frontières" située entre le Burkina, le Mali et le Niger, zone régulièrement ciblée par des assauts meurtriers de djihadistes présumés liés à Al Qaïda et à l’État islamique contre des civils et des militaires.
Dans un message de condoléances aux familles des victimes, le président burkinabè Roch Marc Christian Kaboré a dénoncé "cette attaque barbare" et "ignoble". "Nous devons rester unis et soudés contre ces forces obscurantistes", a-t-l-il ajouté.
Un deuil national de trois jours a été décrété.